Telles sont les conditions de Poppy pour qu’elle accepte de se faire passer pour la petite amie d’Eren le temps d’un week-end. Si le principe la révolte, elle doit pourtant admettre que ce job tombe à pic, car sa situation de jeune étudiante et de mère célibataire est précaire et Poppy peine à subvenir aux besoins de sa fille. Seulement, pour que leur couple soit crédible et fasse illusion auprès de la famille d’Eren, elle va devoir faire connaissance avec ce dernier, qui n’est autre que le capitaine de l’équipe de basket et la star de l’université. Faire semblant d’être amoureuse du mec le plus beau et le plus populaire de tout le campus ? Facile. Ne pas tomber amoureuse de lui ? Moins facile…
Sans être un coup de coeur, j’ai passé un agréable moment de lecture avec cette histoire.
Tout d’abord, j’ai aimé le fait que Poppy fasse des études dans le domaine de l’édition et soit passionnée par la lecture. D’ailleurs, elle souhaite devenir éditrice au sein d’une grande Maison d'Édition. Je me suis beaucoup retrouvée en elle, notamment lorsqu'elle part en weekend à Paris et qu'elle prend plein de livres avec elle "au cas où". On retrouve également quelques références comme “Ugly Love” de mon auteure préférée Colleen Hoover.
Visiblement Alfreda Enwy adore imaginer des héroïnes rousses puisque comme Autumn dans “Ne crois pas que tu m’aimes”, Poppy est également une flamboyante rousse !
Concernant Eren, j’ai aimé sa vision des choses et notamment j’ai retenu une citation de lui qui est : “Et dire que les féministes nous accusent de traiter les femmes comme des objets, j’en suis un à l’instant". C’est justement tout ce que je n’aime pas dans les romances : quand on fait passer les hommes pour des objets et le fait ici que Eren dise lui-même qu’il n’aime pas ça, j’ai trouvé ça génial !
« Moi, je ne l’aurais jamais espéré. Mais l’avenir qui se profile pour nous me laisse à penser qu’il faut toujours faire une place à l’imprévu quand il se présente, et qu’il faut toujours croire en ses rêves. »
Par ailleurs, le gros point positif dans cette histoire est la présence de la petite Charly. En effet, Poppy est devenue maman très jeune, à seulement 17 ans. Son compagnon de l’époque l’a abandonnée et elle se retrouve aujourd’hui à 21 ans avec sa petite fille de 4 ans sous les bras et à devoir gérer en parallèle ses études ainsi qu’un job pour pouvoir subvenir aux besoins de sa fille. La présence de Charly est la touche d’innocence parfaite à cette histoire, je suis toujours friande quand il y a des enfants au milieu des romances !
J'ai aimé les nombreuses références comme par exemple "La Belle et la Bête" qui est mon Disney préféré avec Mulan. D’ailleurs, la scène où Charly et Eren chantent "Histoire Éternelle" était superbe et j'avais la reprise d'Ariana Grande dans la tête !
Je dois tout de même soulever un point négatif : les trop nombreuses répétitions du mot “poupée”. Du début à la fin ce terme revient tout le temps et ça devenait redondant.
“Love Deal” est tout même une lecture que je conseille pour cet été. C’est frais et sans prise de tête, une sorte de comédie romantique comme on peut en trouver sur Netflix. C’est une lecture idéale pour la période estivale !
Tout d’abord, j’ai aimé le fait que Poppy fasse des études dans le domaine de l’édition et soit passionnée par la lecture. D’ailleurs, elle souhaite devenir éditrice au sein d’une grande Maison d'Édition. Je me suis beaucoup retrouvée en elle, notamment lorsqu'elle part en weekend à Paris et qu'elle prend plein de livres avec elle "au cas où". On retrouve également quelques références comme “Ugly Love” de mon auteure préférée Colleen Hoover.
Visiblement Alfreda Enwy adore imaginer des héroïnes rousses puisque comme Autumn dans “Ne crois pas que tu m’aimes”, Poppy est également une flamboyante rousse !
Concernant Eren, j’ai aimé sa vision des choses et notamment j’ai retenu une citation de lui qui est : “Et dire que les féministes nous accusent de traiter les femmes comme des objets, j’en suis un à l’instant". C’est justement tout ce que je n’aime pas dans les romances : quand on fait passer les hommes pour des objets et le fait ici que Eren dise lui-même qu’il n’aime pas ça, j’ai trouvé ça génial !
Par ailleurs, le gros point positif dans cette histoire est la présence de la petite Charly. En effet, Poppy est devenue maman très jeune, à seulement 17 ans. Son compagnon de l’époque l’a abandonnée et elle se retrouve aujourd’hui à 21 ans avec sa petite fille de 4 ans sous les bras et à devoir gérer en parallèle ses études ainsi qu’un job pour pouvoir subvenir aux besoins de sa fille. La présence de Charly est la touche d’innocence parfaite à cette histoire, je suis toujours friande quand il y a des enfants au milieu des romances !
J'ai aimé les nombreuses références comme par exemple "La Belle et la Bête" qui est mon Disney préféré avec Mulan. D’ailleurs, la scène où Charly et Eren chantent "Histoire Éternelle" était superbe et j'avais la reprise d'Ariana Grande dans la tête !
Je dois tout de même soulever un point négatif : les trop nombreuses répétitions du mot “poupée”. Du début à la fin ce terme revient tout le temps et ça devenait redondant.
“Love Deal” est tout même une lecture que je conseille pour cet été. C’est frais et sans prise de tête, une sorte de comédie romantique comme on peut en trouver sur Netflix. C’est une lecture idéale pour la période estivale !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire