Pourtant, elle va devoir s’y faire. Obligés de travailler ensemble sur l’écriture d’une romance, les deux étudiants se rapprochent, se confrontent, s’attirent et s’opposent, tout comme les personnages de leur livre vont s’écorcher avant de se trouver. Mais la vie est bien plus compliquée en vrai !
Une ode à l’amour, une ode à l’écriture et une ode … au new adult ! Erin Graham pose là tous les clichés que les gens peuvent avoir sur le genre “New Adult” : “porno”, “fille nunuche” et j’en passe. L’auteure nous montre que non, le new adult c’est aussi un genre qui permet de parler de sexe sans tabou, d’exprimer des émotions profondes et j’ai aimé que l’auteure défende son genre à travers l’histoire de Andréa et Yanaël.
Je dois vous avouer que dès le prologue je savais que cette histoire ne me laisserait pas indemne. Qu’elle allait me percuter. Si le prologue m’a donné envie de pleurer, les premiers chapitres m’ont beaucoup fait rigoler. C’est la force d’Erin Graham : cette capacité constante à jouer avec vos émotions.
Dans “Teach me love”, Andréa et Yanaël vont devoir écrire une romance new adult dans le cadre de leur Master 2. Ainsi, nous retrouverons de nombreuses références littéraires du genre comme “After” ou encore “50 nuances de Grey”. Ce processus d’insérer une œuvre dans une œuvre, une histoire dans une histoire n’est ni plus ni moins qu’une mise en abyme qui est ici parfaitement maîtrisée par Erin Graham. Nous avons ainsi accès à tout le processus de création d’une œuvre et plus particulièrement, c’est le processus d’écriture qui est ici ciblé dans “Teach me love”. J’ai eu l’impression que l’auteure, à travers ce roman, donnait des conseils d’écriture à ses lecteurs et j’ai trouvé cela très enrichissant car moi-même j’ai déjà eu le désir d’écrire mes propres histoires. Ce roman regorge de petits conseils d’écriture pour les futurs écrivains en herbe !
Un autre point que j’ai adoré dans cette histoire, c’est la présence de la petite Maélys. Mettre un enfant dans une histoire, c’est la plupart du temps un pari gagnant avec moi ! Ceci n’est pas un spoil puisque vous l’apprenez dès le prologue mais Yanaël est effectivement le papa d’une petite fille de 4 ans. Cette petite apporte la touche d’insouciance et de douceur dans les passages parfois plus sombres du roman. J’ai adoré !
Si ce roman n’a cependant pas été un coup de coeur, c’est parce que quelques points m’ont fait tiquer. Il ne faut pas oublier qu’avant d’arrêter le préservatif du jour au lendemain pour se contenter de la pilule, il y a des gestes préventifs à faire comme par exemple faire un test de dépistage (MST et VIH). Dans ce roman, la seule “peur” de Yanaël c’est que Andréa tombe enceinte mais à aucun moment ils ne se posent ni l’un ni l’autre la question des MST ou des dépistages avant d’arrêter le préservatif. Je trouve ça vraiment dommage d’occulter quelque chose d’aussi important dans une romance. A mon sens, ce sont des gestes importants et préventifs qui sont importants à rappeler.
Par ailleurs, la scène où ils s’envoient en l’air sur le canapé du salon alors que la petite de 4 ans dort à côté dans sa chambre était selon moi inutile et un peu ridicule au vue des circonstances.
Cela reste tout de même un roman à lire absolument car il est très intéressant du point de vue de l’écriture d’un roman mais aussi pour la romance entre Andrea et Yanaël qui restera, sans nulle doute, l’une des plus belles que j’ai pu lire.
Je dois vous avouer que dès le prologue je savais que cette histoire ne me laisserait pas indemne. Qu’elle allait me percuter. Si le prologue m’a donné envie de pleurer, les premiers chapitres m’ont beaucoup fait rigoler. C’est la force d’Erin Graham : cette capacité constante à jouer avec vos émotions.
Dans “Teach me love”, Andréa et Yanaël vont devoir écrire une romance new adult dans le cadre de leur Master 2. Ainsi, nous retrouverons de nombreuses références littéraires du genre comme “After” ou encore “50 nuances de Grey”. Ce processus d’insérer une œuvre dans une œuvre, une histoire dans une histoire n’est ni plus ni moins qu’une mise en abyme qui est ici parfaitement maîtrisée par Erin Graham. Nous avons ainsi accès à tout le processus de création d’une œuvre et plus particulièrement, c’est le processus d’écriture qui est ici ciblé dans “Teach me love”. J’ai eu l’impression que l’auteure, à travers ce roman, donnait des conseils d’écriture à ses lecteurs et j’ai trouvé cela très enrichissant car moi-même j’ai déjà eu le désir d’écrire mes propres histoires. Ce roman regorge de petits conseils d’écriture pour les futurs écrivains en herbe !
Un autre point que j’ai adoré dans cette histoire, c’est la présence de la petite Maélys. Mettre un enfant dans une histoire, c’est la plupart du temps un pari gagnant avec moi ! Ceci n’est pas un spoil puisque vous l’apprenez dès le prologue mais Yanaël est effectivement le papa d’une petite fille de 4 ans. Cette petite apporte la touche d’insouciance et de douceur dans les passages parfois plus sombres du roman. J’ai adoré !
Si ce roman n’a cependant pas été un coup de coeur, c’est parce que quelques points m’ont fait tiquer. Il ne faut pas oublier qu’avant d’arrêter le préservatif du jour au lendemain pour se contenter de la pilule, il y a des gestes préventifs à faire comme par exemple faire un test de dépistage (MST et VIH). Dans ce roman, la seule “peur” de Yanaël c’est que Andréa tombe enceinte mais à aucun moment ils ne se posent ni l’un ni l’autre la question des MST ou des dépistages avant d’arrêter le préservatif. Je trouve ça vraiment dommage d’occulter quelque chose d’aussi important dans une romance. A mon sens, ce sont des gestes importants et préventifs qui sont importants à rappeler.
Par ailleurs, la scène où ils s’envoient en l’air sur le canapé du salon alors que la petite de 4 ans dort à côté dans sa chambre était selon moi inutile et un peu ridicule au vue des circonstances.
Cela reste tout de même un roman à lire absolument car il est très intéressant du point de vue de l’écriture d’un roman mais aussi pour la romance entre Andrea et Yanaël qui restera, sans nulle doute, l’une des plus belles que j’ai pu lire.
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