Every year, each village is required to send a young woman to the Empire's capital--her fate to be burned alive for the entertainment of the masses. For the last five years, one small village's tithe has been the same woman. Gilene's sacrifice protects all the other young women of her village, and her secret to staying alive lies with the magic only she possesses.
But this year is different.
Azarion, the Empire's most famous gladiator, has somehow seen through her illusion--and is set on blackmailing Gilene into using her abilities to help him escape his life of slavery. And unknown to Gilene, he also wants to reclaim the birthright of his clan.
To protect her family and village, she will risk everything to return to the Empire--and burn once more.
Ce livre m’a donné bien du fil à retordre, et en prenant du recul, difficile de faire un résumé cohérent de mon ressenti lors de cette lecture, car je suis passé par diverses émotions pas toujours liées.
Ce roman de fantaisie se déroulant dans un monde similaire au monde romain, nous plonge dans la vie de Gilene et Azarion, deux personnes aux passés très différents, mais souffrant tous deux de la cruauté de l’Empire. Azarion par un jeu du destin, va pousser Gilene a l’aider à s’évader en utilisant la magie qui lui permet chaque année de survivre au bûcher que l’Empire organise chaque année. Ce qu’il ne va pas lui dire, c’est qu’il va l'entraîner avec lui dans sa fuite, risquant leurs vies pour retrouver les siens et récupérer ce qui lui revient de naissance.
Le tout début du roman est assez palpitant. On se retrouve dans un colisé au milieu des gladiateurs, avec une Gilene plus résolu que jamais de s’évader une nouvelle fois du bûcher sous la barbe de l’Empire. L’autrice n’est pas tendre avec ses personnages, et elle dépeint un monde cruel et sanguinaire où chacun essaie de survivre aux dépens parfois de la vie des autres. Elle nous donne d’abord peu d’indice sur la vie des personnages et sur cet Empire, mais l’action nous permet de rentrer rapidement dans la lecture, et les informations qu’elle nous donne petit à petit nous aide à comprendre les agissements de chaque personnage.
Cependant, ce premier éclat de début de roman s’est très vite essoufflé lorsque Azarion et Gisele s’enfuient de la capitale et partent sur les routes. J’ai trouvé que la magie était beaucoup trop présente, et s’exprimait parfois de manière trop brusque, et sans réel apport pour la suite du roman. De plus, en quelques pages, les deux personnages vont se faire attaquer coup sur coup, et chaque combat va se dérouler un peu trop rapidement. A ce moment là, je commençais à perdre l’envie de lire la suite du roman. Heureusement, à la moitié les choses changent et j’ai commencé à découvrir le véritable potentiel de cette histoire.
J’ai aimé la façon dont la magie (à partir de la moitié du roman hein), est incorporé dans cet univers. Elle est dépeinte par certains peuples comme une bénédiction, et par les autres comme une malédiction. Azarion et Gilene ont d’ailleurs deux comportements complètement radicaux face à cette dernière. Gilene, qui est porteuse de ce don, le déteste, car il l’oblige à subir les sévices de l’Empire tous les ans afin de sauver les autres femmes de son village. Il était très intéressant de voir comme elle rejetait ce don, et la façon dont Azarion va lui ouvrir les yeux sur les responsabilités qu’elle pensait devoir endosser.
On découvre d’ailleurs avec plus d'ampleur ce deuxième personnage dès la seconde partie du roman, et je dois dire que je l’ai d’autant plus aimé. Fort, et sauvage, mais aussi réfléchit et protecteur.
Vous imaginez bien qu’une romance va s’installer petit à petit. Elle reste cependant en second plan, laissant l’action prendre le dessus. Ce standalone en regorge, et bien qu’il ne comporte pas sept cent pages, il contient tout ce qu’il faut pour démarrer et conclure une histoire sans me procurer un sentiment de manque. La fin apporte des réponses à toutes mes questions mais n’en ait pas non plus trop ouverte. L’autrice a d’ailleurs réussi à me surprendre avec la tournure de certains évènements.
C’est donc sur une bonne note que j’ai terminé ma lecture, et je ne retiens que du bien de ce roman. J’ai d’ailleurs vu qu’un tome companion sur d’autres personnages accompagnait ce dernier, je pense donc le lire d’ici peu.
Ce roman de fantaisie se déroulant dans un monde similaire au monde romain, nous plonge dans la vie de Gilene et Azarion, deux personnes aux passés très différents, mais souffrant tous deux de la cruauté de l’Empire. Azarion par un jeu du destin, va pousser Gilene a l’aider à s’évader en utilisant la magie qui lui permet chaque année de survivre au bûcher que l’Empire organise chaque année. Ce qu’il ne va pas lui dire, c’est qu’il va l'entraîner avec lui dans sa fuite, risquant leurs vies pour retrouver les siens et récupérer ce qui lui revient de naissance.
Le tout début du roman est assez palpitant. On se retrouve dans un colisé au milieu des gladiateurs, avec une Gilene plus résolu que jamais de s’évader une nouvelle fois du bûcher sous la barbe de l’Empire. L’autrice n’est pas tendre avec ses personnages, et elle dépeint un monde cruel et sanguinaire où chacun essaie de survivre aux dépens parfois de la vie des autres. Elle nous donne d’abord peu d’indice sur la vie des personnages et sur cet Empire, mais l’action nous permet de rentrer rapidement dans la lecture, et les informations qu’elle nous donne petit à petit nous aide à comprendre les agissements de chaque personnage.
« She sat down on her side of the blankets and pulled off her borrowed slippers, wondering whether anyone would question things if Valdan was found dead of suffocation the next morning. »
Cependant, ce premier éclat de début de roman s’est très vite essoufflé lorsque Azarion et Gisele s’enfuient de la capitale et partent sur les routes. J’ai trouvé que la magie était beaucoup trop présente, et s’exprimait parfois de manière trop brusque, et sans réel apport pour la suite du roman. De plus, en quelques pages, les deux personnages vont se faire attaquer coup sur coup, et chaque combat va se dérouler un peu trop rapidement. A ce moment là, je commençais à perdre l’envie de lire la suite du roman. Heureusement, à la moitié les choses changent et j’ai commencé à découvrir le véritable potentiel de cette histoire.
J’ai aimé la façon dont la magie (à partir de la moitié du roman hein), est incorporé dans cet univers. Elle est dépeinte par certains peuples comme une bénédiction, et par les autres comme une malédiction. Azarion et Gilene ont d’ailleurs deux comportements complètement radicaux face à cette dernière. Gilene, qui est porteuse de ce don, le déteste, car il l’oblige à subir les sévices de l’Empire tous les ans afin de sauver les autres femmes de son village. Il était très intéressant de voir comme elle rejetait ce don, et la façon dont Azarion va lui ouvrir les yeux sur les responsabilités qu’elle pensait devoir endosser.
On découvre d’ailleurs avec plus d'ampleur ce deuxième personnage dès la seconde partie du roman, et je dois dire que je l’ai d’autant plus aimé. Fort, et sauvage, mais aussi réfléchit et protecteur.
« Azarion’s assurances of his disinterest in her were both a comfort and, in an odd way, an insult. »
Vous imaginez bien qu’une romance va s’installer petit à petit. Elle reste cependant en second plan, laissant l’action prendre le dessus. Ce standalone en regorge, et bien qu’il ne comporte pas sept cent pages, il contient tout ce qu’il faut pour démarrer et conclure une histoire sans me procurer un sentiment de manque. La fin apporte des réponses à toutes mes questions mais n’en ait pas non plus trop ouverte. L’autrice a d’ailleurs réussi à me surprendre avec la tournure de certains évènements.
C’est donc sur une bonne note que j’ai terminé ma lecture, et je ne retiens que du bien de ce roman. J’ai d’ailleurs vu qu’un tome companion sur d’autres personnages accompagnait ce dernier, je pense donc le lire d’ici peu.
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