Mais un jour, Sam rencontre Caroline… Très vite, sa nouvelle amie lui fait découvrir un lieu secret du lycée : le Coin des Poètes, où chacun peut réciter ses créations. Peu à peu, Sam se prend presque à se sentir « normale ».
Mais pourquoi, AJ, le mystérieux guitariste du groupe, semble-t-il ne pas accepter sa présence ? Sam devra-t-elle une fois de plus tout remettre en question ?
Ce roman est vraiment une belle découverte ! J’ai eu la chance de tomber dessus au détour des rayonnages d’une librairie d’occasion bruxelloise ! Il était à 3 euros au lieu de 17 euros et dans un état comme neuf, inutile de vous dire que je n’ai pas beaucoup réfléchi avant de craquer.
Trêve de bavardages, c’est un roman qui a beaucoup raisonné en moi. En effet, tout comme le personnage de Sam, je suis également sujette à l’anxiété, aux crises d’angoisse et troubles obsessionnels. Ce sujet, je le connais même si dans le cas de Sam, cela va beaucoup plus loin car nous sommes à un stade que l’on qualifie de “maladie mentale”. La fin du roman illustre d’ailleurs parfaitement bien cette expression.
« Les crises d'angoisse sont comme des tremblements de terre. Je suis toujours soulagée quand la terre cesse de trembler, pourtant je sais que ça se reproduira un jour et que je ne verrai rien venir, encore une fois. »
C’est un roman qui parle également de l’amitié, de l’effet de groupe et de l’influence que celui-ci peut avoir sur nous. Il parle de ces amitiés parfois toxiques et de l’importance de s’entourer des bonnes personnes pour daigner voir la lumière au bout du tunnel.
La lumière, Sam va la retrouver grâce à son amie Caroline qui va lui faire découvrir le mystérieux Coin des Poètes … Ou l’art de faire une thérapie à travers les mots, à travers l’extériorisation de ses pensées.
Les mots, Sam les consignent dans trois carnets (et vous verrez que le chiffre trois dans ce roman n’est pas du tout anodin) : le carnet jaune, le carnet bleu et le carnet rouge. Chaque couleur correspond à une humeur : neutre, en colère ou heureuse. Peu à peu, Sam va se lier d’amitié avec les autres poètes du cercle, au détriment de son club des Huit.
« Ce n'est pas toi que j'allais chercher là-bas, dis-je très bas d'une voix tremblante, mais moi. Seulement maintenant tu es là et, en te trouvant, je crois que je me suis trouvée. »
C’est un Young Adult qui fait passer de beaux messages et qui vous réservera également un retournement de situation totalement inattendu. L’auteure a parfaitement maîtrisé son sujet de telle sorte que je n’ai rien vu venir et que l’illusion a fonctionné à merveille avec moi !
Mon seul regret par rapport à ce roman est la romance qui est selon moi trop rapide. J’aurais préféré quelque chose de plus progressif (à la “PS : tu me manques” de Brigid Kemmerer). D’autant plus quand on apprend le passé commun entre Sam et AJ, je n’ai pas été convaincue par la rapidité des sentiments amoureux.
Si l’on fait malgré tout exempt de la romance, c’est un roman qui fait du bien, qui apaise, qui vous fera remettre en question vos propres fréquentations et qui vous fera surtout beaucoup réfléchir. Le côté poétique m’a beaucoup rappelé le roman “Indécent” de Colleen Hoover, pour mon plus grand plaisir ! J’ai beaucoup aimé aussi le fait que l’auteure parle brièvement de la synesthésie (j’ai eu une petite pensée pour Cromwell de “Love Crescendo” de Tillie Cole).
J’espère que “dans chacun de mes mots” vous aurez trouvé au moins une bonne raison de lire ce roman !
Trêve de bavardages, c’est un roman qui a beaucoup raisonné en moi. En effet, tout comme le personnage de Sam, je suis également sujette à l’anxiété, aux crises d’angoisse et troubles obsessionnels. Ce sujet, je le connais même si dans le cas de Sam, cela va beaucoup plus loin car nous sommes à un stade que l’on qualifie de “maladie mentale”. La fin du roman illustre d’ailleurs parfaitement bien cette expression.
C’est un roman qui parle également de l’amitié, de l’effet de groupe et de l’influence que celui-ci peut avoir sur nous. Il parle de ces amitiés parfois toxiques et de l’importance de s’entourer des bonnes personnes pour daigner voir la lumière au bout du tunnel.
La lumière, Sam va la retrouver grâce à son amie Caroline qui va lui faire découvrir le mystérieux Coin des Poètes … Ou l’art de faire une thérapie à travers les mots, à travers l’extériorisation de ses pensées.
Les mots, Sam les consignent dans trois carnets (et vous verrez que le chiffre trois dans ce roman n’est pas du tout anodin) : le carnet jaune, le carnet bleu et le carnet rouge. Chaque couleur correspond à une humeur : neutre, en colère ou heureuse. Peu à peu, Sam va se lier d’amitié avec les autres poètes du cercle, au détriment de son club des Huit.
C’est un Young Adult qui fait passer de beaux messages et qui vous réservera également un retournement de situation totalement inattendu. L’auteure a parfaitement maîtrisé son sujet de telle sorte que je n’ai rien vu venir et que l’illusion a fonctionné à merveille avec moi !
Mon seul regret par rapport à ce roman est la romance qui est selon moi trop rapide. J’aurais préféré quelque chose de plus progressif (à la “PS : tu me manques” de Brigid Kemmerer). D’autant plus quand on apprend le passé commun entre Sam et AJ, je n’ai pas été convaincue par la rapidité des sentiments amoureux.
Si l’on fait malgré tout exempt de la romance, c’est un roman qui fait du bien, qui apaise, qui vous fera remettre en question vos propres fréquentations et qui vous fera surtout beaucoup réfléchir. Le côté poétique m’a beaucoup rappelé le roman “Indécent” de Colleen Hoover, pour mon plus grand plaisir ! J’ai beaucoup aimé aussi le fait que l’auteure parle brièvement de la synesthésie (j’ai eu une petite pensée pour Cromwell de “Love Crescendo” de Tillie Cole).
J’espère que “dans chacun de mes mots” vous aurez trouvé au moins une bonne raison de lire ce roman !
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