Du jour au lendemain, Elina a tout quitté pour s’installer à la campagne. La raison ? Son père, le seul homme qui ait jamais compté pour elle, lui a proposé de travailler à ses côtés sur le domaine agricole familial. Et, si elle ne connaît pas grand-chose au métier d’agricultrice, qu’à cela ne tienne ! Elle a bien l’intention de lui venir en aide et de montrer à ses collègues de sexe masculin de quoi elle est capable. À commencer par Bertrand, le nouveau bras droit de son père, cet homme sombre et autoritaire qui la rabaisse dès qu’il en a l’occasion. Derrière cette façade, quelque chose chez cet homme l’intrigue. Son regard laisse paraître une faille, un rien imperceptible qui transforme peu à peu la haine qu’elle lui porte en attirance …
Wahou. Ce roman est un gros coup de coeur ! Je l’ai dévoré d’une traite en deux heures, impossible de m’arrêter ! C’était le livre que j’attendais le plus au mois de juillet et je n’ai pas été déçue.
Dans “Te résister”, nous suivons Elina, jeune femme de 34 ans qui vit à Paris et qui n’a qu’une envie : retourner aux sources. Terminée la vie rythmée par le célèbre mantra “métro-boulot-dodo” : après une proposition de son père et un licenciement, elle décide de rejoindre le domaine agricole familial et de se former au métier d’agricultrice auprès de son père et du bras-droit de celui-ci, Bertrand Menin.
Le domaine agricole, c’est là où elle a grandi. C’est ainsi qu’à 34 ans la voilà de retour dans sa chambre d’adolescente (toujours remplie de posters de ses idoles), bien loin de la vie parisienne et du stress quotidien. Le domaine se trouve à Vénéjan, commune située dans le département du Gard.
“Te résister”, c’est typiquement la romance que j’aime : une romance qui prend son temps. Celle-ci n’est d’ailleurs pas gagnée et va s’avérer difficile car Bertrand Menin, le gérant, s’avère être un véritable tyran. D’emblée, celui-ci se montre peu amène envers Elina, froid, distant et rustre. Dès le première jour il lui confie les tâches les plus ingrates. Une façon pour lui de la mettre à l’épreuve et de voir de quoi elle est capable sous ses allures de fille à papa.
Ce roman est surprenant à plusieurs niveaux. Tout d’abord, la narration. Celle-ci est à la troisième personne et lorsque j’ai lu les premières lignes je me suis dit “oh non, pas une romance à la troisième personne”. Finalement, je n’ai eu aucun mal à m’adapter à cette narration et je peux même dire à présent que je ne l’aurais pas vu autrement. Deuxième surprise : le nombre de pages. Lorsque j’ai vu que le roman faisait moins de 200 pages sur ma liseuse, j’ai également été rebutée : vais-je me retrouver encore avec une romance trop rapide ? peu développée ? Encore une fois, Annabelle Bach a su taire mes peurs avec son histoire qui m’a prise dans ses filets dès le début.
Ce format court était parfait. Je n’ai finalement pas eu l’impression de lire un livre mais de regarder un film (du genre une adaptation d’un roman de Sparks, rien que ça). D’ailleurs je crois que si aujourd’hui on me demande quel livre je voudrais voir être adapté en film je répondrais sans hésitation “Te résister”.
C’était une romance magnifique. Tout d’abord par son cadre. J’ai été immergée dans un coin de France que je ne connais pas. J’ai très envie d’aller visiter Vénéjan maintenant ! Dans cette histoire nous plongeons en plein coeur de la campagne, des champs, dans un domaine viticole, cadre que je rêvais de voir dans une romance. “Te résister” nous montre également à travers le personnage d’Elina la façon dont une femme se retrouve dans un “milieu d’hommes” et va devoir faire ses preuves pour montrer qu’elle y a toute sa place.
Lorsque j’ai refermé “Te résister” à presque 1 heure du matin, j’avais déjà envie de le recommencer depuis le début. C’est typiquement une romance comme je les aime avec deux personnages qui se cherchent, se vouent même une véritable haine pendant une bonne partie du roman, avant de se transformer en amour et j’ai aimé voir l’évolution de leurs sentiments, surtout du côté de ce rustre personnage qu’est Bertrand.
Enfin, j’espère de tout mon coeur que “Te résister” va sortir en format papier parce que, assurément, il me faut l’histoire de Elina et Bertrand dans ma bibliothèque et surtout : je veux pouvoir l’offrir partout autour de moi.
Dans “Te résister”, nous suivons Elina, jeune femme de 34 ans qui vit à Paris et qui n’a qu’une envie : retourner aux sources. Terminée la vie rythmée par le célèbre mantra “métro-boulot-dodo” : après une proposition de son père et un licenciement, elle décide de rejoindre le domaine agricole familial et de se former au métier d’agricultrice auprès de son père et du bras-droit de celui-ci, Bertrand Menin.
Le domaine agricole, c’est là où elle a grandi. C’est ainsi qu’à 34 ans la voilà de retour dans sa chambre d’adolescente (toujours remplie de posters de ses idoles), bien loin de la vie parisienne et du stress quotidien. Le domaine se trouve à Vénéjan, commune située dans le département du Gard.
“Te résister”, c’est typiquement la romance que j’aime : une romance qui prend son temps. Celle-ci n’est d’ailleurs pas gagnée et va s’avérer difficile car Bertrand Menin, le gérant, s’avère être un véritable tyran. D’emblée, celui-ci se montre peu amène envers Elina, froid, distant et rustre. Dès le première jour il lui confie les tâches les plus ingrates. Une façon pour lui de la mettre à l’épreuve et de voir de quoi elle est capable sous ses allures de fille à papa.
Ce roman est surprenant à plusieurs niveaux. Tout d’abord, la narration. Celle-ci est à la troisième personne et lorsque j’ai lu les premières lignes je me suis dit “oh non, pas une romance à la troisième personne”. Finalement, je n’ai eu aucun mal à m’adapter à cette narration et je peux même dire à présent que je ne l’aurais pas vu autrement. Deuxième surprise : le nombre de pages. Lorsque j’ai vu que le roman faisait moins de 200 pages sur ma liseuse, j’ai également été rebutée : vais-je me retrouver encore avec une romance trop rapide ? peu développée ? Encore une fois, Annabelle Bach a su taire mes peurs avec son histoire qui m’a prise dans ses filets dès le début.
Ce format court était parfait. Je n’ai finalement pas eu l’impression de lire un livre mais de regarder un film (du genre une adaptation d’un roman de Sparks, rien que ça). D’ailleurs je crois que si aujourd’hui on me demande quel livre je voudrais voir être adapté en film je répondrais sans hésitation “Te résister”.
C’était une romance magnifique. Tout d’abord par son cadre. J’ai été immergée dans un coin de France que je ne connais pas. J’ai très envie d’aller visiter Vénéjan maintenant ! Dans cette histoire nous plongeons en plein coeur de la campagne, des champs, dans un domaine viticole, cadre que je rêvais de voir dans une romance. “Te résister” nous montre également à travers le personnage d’Elina la façon dont une femme se retrouve dans un “milieu d’hommes” et va devoir faire ses preuves pour montrer qu’elle y a toute sa place.
Lorsque j’ai refermé “Te résister” à presque 1 heure du matin, j’avais déjà envie de le recommencer depuis le début. C’est typiquement une romance comme je les aime avec deux personnages qui se cherchent, se vouent même une véritable haine pendant une bonne partie du roman, avant de se transformer en amour et j’ai aimé voir l’évolution de leurs sentiments, surtout du côté de ce rustre personnage qu’est Bertrand.
Enfin, j’espère de tout mon coeur que “Te résister” va sortir en format papier parce que, assurément, il me faut l’histoire de Elina et Bertrand dans ma bibliothèque et surtout : je veux pouvoir l’offrir partout autour de moi.
J'adore cette chronique et cela me va droit au coeur. Annabelle
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