Anéanti par la perte de celle qu'il aimait plus que tout, Antoine a du mal à créer du lien avec son bébé jusqu'à ce qu'il embauche Rose, une pétillante jeune femme à l'irrépressible joie de vivre, pour s'occuper du nourrisson.
Parviendra-t-elle à aider Antoine à se révéler comme père et à se reconstruire ?
Il n'est jamais trop tard pour (ré)apprendre à aimer.
Il est de ces livres qui vous marquent pour toujours et "La mélancolie du kangourou" de Laure Manel est indéniablement de ceux-là. Je l'ai lu en moins de 24 heures tellement j'ai été happée par cette histoire et il faut savoir qu'en temps normal, je ne lis jamais un livre aussi rapidement. Cela relève de l'exceptionnel mais après tout, ce roman lui-même est exceptionnel.
« La vie est devant lui, il faut cesser de toujours regarder en arrière, vivre dans le passé, vouloir revivre les moments d’avant … Il faut inventer l’après. »
Il m'a tenu éveillée une bonne partie de la nuit malgré la fatigue. Je me suis couchée à 2 heures du matin en me promettant de le terminer le matin même, comme pour essayer de le savourer encore un peu. Malgré l'heure tardive à laquelle je me suis couchée, j'ai eu du mal à m'endormir car j'avais toujours en tête cette histoire. Antoine, Lou et Rose m'ont paru si réels que j'en ai été déconcertée.
Pour tout dire, en lisant ce roman j'avais l'impression de voir un film. D'ailleurs, je pense que si ce roman était adapté, ce serait sans nulle doute une pépite cinématographique (à bon entendeur). Vraiment, je voyais les images se dérouler sous mes yeux comme lorsque je regarde un film. Je voyais parfaitement Antoine et Rose en train de faire de la randonnée, Rose en train de patiner, Lou en train de babiller ...
« Tu nous as énormément apporté, à Lou et à moi. Sans doute plus que tu l'imagines ... Parfois, je me disais que tu étais une fée. Tu peux sourire ... tu l'es. »
J'ai pleuré à plusieurs reprises durant ma lecture. Tout d'abord au début du roman, forcément. Ce fut un véritable déchirement mais ce roman ne se veut pas tire-larmes pour autant. J'ai certes pleuré à d'autres moments de l'histoire mais non pas parce que les scènes décrites étaient tristes, mais parce qu'elles étaient ... immensément belles.
Les personnages sont tous incroyables. Tout d'abord Antoine, ce pauvre papa démunit qui, au début du roman, n'accepte pas cet enfant et a du mal à tisser du lien avec. Il ne perçoit Rose, la nourrice, que comme une "gamine" comme il le dit lui-même. C'est tellement beau de voir son évolution, de le voir se rapprocher de Lou, de voir le changement qu'il a opéré grâce à la présence de Rose. Il s'avère que j'ai beaucoup pensé à "Avant toi" de Jojo Moyes grâce au personnage de Rose qui m'a rappelé celui de Louisa Clark, cette jeune femme dynamique, rayonnante et à la joie de vivre communicative qui va aider l'homme malheureux à se relever. D'ailleurs, la petite fille de Antoine s'appelle Lou. Donc pour toutes les personnes qui ont aimé "Avant toi" de Jojo Moyes, je vous conseille vivement de lire "La mélancolie du kangourou" de Laure Manel car pour moi ce roman est aussi beau et aussi émouvant si ce n'est plus !
« Quand je te vois danser, je vois tout ce que tu es et tout ce que j'aime. Tu es à la fois toi et une autre, et à mon avis tu n'es jamais plus toi que dans ces moments-là ... »
Je vais avoir beaucoup de mal à passer à une nouvelle lecture. Devoir dire au revoir à Antoine, Lou et Rose est un véritable déchirement pour moi. A la fin du roman, je n'avais qu'une envie : rentrer dans la maison avec eux et continuer à les voir évoluer, connaitre leur présent comme leur futur. J'aurais tellement voulu en voir davantage encore, un épilogue peut-être ? Enfin, si je dis ça c'est parce que je me suis vraiment énormément attachée aux personnages et que j'ai vraiment beaucoup de mal à les quitter.
Dorénavant je vais suivre toutes les futures parutions de Laure Manel et lire son premier roman qui est dans ma PAL, "La délicatesse du homard".
Il m'a tenu éveillée une bonne partie de la nuit malgré la fatigue. Je me suis couchée à 2 heures du matin en me promettant de le terminer le matin même, comme pour essayer de le savourer encore un peu. Malgré l'heure tardive à laquelle je me suis couchée, j'ai eu du mal à m'endormir car j'avais toujours en tête cette histoire. Antoine, Lou et Rose m'ont paru si réels que j'en ai été déconcertée.
Pour tout dire, en lisant ce roman j'avais l'impression de voir un film. D'ailleurs, je pense que si ce roman était adapté, ce serait sans nulle doute une pépite cinématographique (à bon entendeur). Vraiment, je voyais les images se dérouler sous mes yeux comme lorsque je regarde un film. Je voyais parfaitement Antoine et Rose en train de faire de la randonnée, Rose en train de patiner, Lou en train de babiller ...
J'ai pleuré à plusieurs reprises durant ma lecture. Tout d'abord au début du roman, forcément. Ce fut un véritable déchirement mais ce roman ne se veut pas tire-larmes pour autant. J'ai certes pleuré à d'autres moments de l'histoire mais non pas parce que les scènes décrites étaient tristes, mais parce qu'elles étaient ... immensément belles.
Les personnages sont tous incroyables. Tout d'abord Antoine, ce pauvre papa démunit qui, au début du roman, n'accepte pas cet enfant et a du mal à tisser du lien avec. Il ne perçoit Rose, la nourrice, que comme une "gamine" comme il le dit lui-même. C'est tellement beau de voir son évolution, de le voir se rapprocher de Lou, de voir le changement qu'il a opéré grâce à la présence de Rose. Il s'avère que j'ai beaucoup pensé à "Avant toi" de Jojo Moyes grâce au personnage de Rose qui m'a rappelé celui de Louisa Clark, cette jeune femme dynamique, rayonnante et à la joie de vivre communicative qui va aider l'homme malheureux à se relever. D'ailleurs, la petite fille de Antoine s'appelle Lou. Donc pour toutes les personnes qui ont aimé "Avant toi" de Jojo Moyes, je vous conseille vivement de lire "La mélancolie du kangourou" de Laure Manel car pour moi ce roman est aussi beau et aussi émouvant si ce n'est plus !
Je vais avoir beaucoup de mal à passer à une nouvelle lecture. Devoir dire au revoir à Antoine, Lou et Rose est un véritable déchirement pour moi. A la fin du roman, je n'avais qu'une envie : rentrer dans la maison avec eux et continuer à les voir évoluer, connaitre leur présent comme leur futur. J'aurais tellement voulu en voir davantage encore, un épilogue peut-être ? Enfin, si je dis ça c'est parce que je me suis vraiment énormément attachée aux personnages et que j'ai vraiment beaucoup de mal à les quitter.
Dorénavant je vais suivre toutes les futures parutions de Laure Manel et lire son premier roman qui est dans ma PAL, "La délicatesse du homard".
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