Il s'appelle Mao, elle s'appelle Autumn. Depuis qu'ils se sont rencontrés, enfants, dans ce parc, ils sont inséparables.
Pour Mao, cette amitié est plus importante que tout. Pour Mao, Autumn est la fille la plus précieuse qui soit. Et il doit à tout prix la protéger de la dureté du monde ; ce monde contre lequel il se bat plusieurs soirs par semaine, sur un ring qui n’attend que de voir couler son sang. Car Mao est étudiant le jour, expert des combats clandestins la nuit, et un enfoiré de première… tout le temps. Alcool, filles, fêtes, il voit la vie comme un jeu dans lequel tout est permis… ou presque. Car, quand il prend conscience qu’Autumn est une jeune femme séduisante avant d’être l’amie drôle et attachante qu’il a toujours connue, il comprend que, pour une fois, il va devoir respecter certaines limites. Pour préserver leur amitié, mais aussi et surtout pour protéger Autumn de lui-même… »
UNE MERVEILLE.
J'aurais englouti "Ne crois pas que tu m'aimes" de Alfreda Enwy en deux jours malgré ses presque 600 pages. J'ai vécu intensément l'histoire de Autumn et de Mao. J'ai fibré avec eux, j'ai rigolé avec eux, j'ai aimé avec eux et j'ai souffert avec eux. Oui, je l'admets, mes larmes ont coulé lors de certains passages tellement l'intensité était fulgurante.
Lors de ma lecture, je me suis revue il y a quatre ans lorsque je lisais "After" de Anna Todd. D'ailleurs, les fans de ce best-seller trouverons leur compte dans ce roman de Alfreda Enwy car même si l'histoire est sensiblement différente (malgré le cliché du bad boy), l’additivité reste la même. C'est clair, lorsque vous aurez ouvert la première page de "Ne crois pas que tu m'aimes" de Alfreda Enwy, vous ne pourrez plus le refermer. Je sais ce que je dis puisque le soir où je l'ai commencé je me suis couchée à 2 heures du matin (tout en me levant à 8 heures pour pouvoir le continuer).
L'histoire peut paraître clichée au premier abord et pourtant, elle saura vous surprendre. J'ai aimé cette histoire de deux meilleurs amis qui se rencontrent durant l'enfance et qui, un beau jour, découvrent finalement qu'avec les années ils ont développé davantage que des sentiments amicaux.
J'ai aimé le fait que l'histoire sache se démarquer des autres. Par exemple, Mao, le protagoniste masculin est japonais et waouh, qu'est-ce que ça change des protagonistes caucasiens ! Je souligne également le fait que l'héroïne est rousse avec des tâches de rousseur ainsi que sa comparaison à l'automne (ce n'est pas pour rien si elle s'appelle Autumn n'est-ce pas). En soit, la symbolique autour de l'automne est vraiment très belle je trouve et je pense que c'est un roman qui peut être d'autant plus agréable à lire à cette saison-là (avec les petites feuilles d'érable en en-tête de chapitre).
C'est une histoire d'une très grande dureté. Autumn doit s'occuper de sa sœur et de son frère, Avery et Dustin, puisque leur mère est alcoolique et absente. De fait, elle a même dû arrêter ses études dès le lycée afin de travailler (et enchaîner deux boulots en même temps) afin de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille.
J'ai été touchée par la sœur de Autumn et d'ailleurs j'aurais bien voulu connaître plus son histoire (pourquoi pas avoir un tome dédié sur elle ?).
J'ai donc bien fait de laisser une seconde chance à Alfreda Enwy. En effet, avant de lire "Ne crois pas que tu m'aimes", j'avais lu l'an dernier "Nos infinis chaos" et malheureusement je n'avais pas vraiment accroché. Comme quoi, si je n'avais pas vu d'aussi bons avis sur ce roman, je ne me serais jamais tournée vers lui et j'aurais raté une belle pépite ! Un roman à découvrir absolument et à savourer, sans modération !
J'aurais englouti "Ne crois pas que tu m'aimes" de Alfreda Enwy en deux jours malgré ses presque 600 pages. J'ai vécu intensément l'histoire de Autumn et de Mao. J'ai fibré avec eux, j'ai rigolé avec eux, j'ai aimé avec eux et j'ai souffert avec eux. Oui, je l'admets, mes larmes ont coulé lors de certains passages tellement l'intensité était fulgurante.
Lors de ma lecture, je me suis revue il y a quatre ans lorsque je lisais "After" de Anna Todd. D'ailleurs, les fans de ce best-seller trouverons leur compte dans ce roman de Alfreda Enwy car même si l'histoire est sensiblement différente (malgré le cliché du bad boy), l’additivité reste la même. C'est clair, lorsque vous aurez ouvert la première page de "Ne crois pas que tu m'aimes" de Alfreda Enwy, vous ne pourrez plus le refermer. Je sais ce que je dis puisque le soir où je l'ai commencé je me suis couchée à 2 heures du matin (tout en me levant à 8 heures pour pouvoir le continuer).
L'histoire peut paraître clichée au premier abord et pourtant, elle saura vous surprendre. J'ai aimé cette histoire de deux meilleurs amis qui se rencontrent durant l'enfance et qui, un beau jour, découvrent finalement qu'avec les années ils ont développé davantage que des sentiments amicaux.
J'ai aimé le fait que l'histoire sache se démarquer des autres. Par exemple, Mao, le protagoniste masculin est japonais et waouh, qu'est-ce que ça change des protagonistes caucasiens ! Je souligne également le fait que l'héroïne est rousse avec des tâches de rousseur ainsi que sa comparaison à l'automne (ce n'est pas pour rien si elle s'appelle Autumn n'est-ce pas). En soit, la symbolique autour de l'automne est vraiment très belle je trouve et je pense que c'est un roman qui peut être d'autant plus agréable à lire à cette saison-là (avec les petites feuilles d'érable en en-tête de chapitre).
C'est une histoire d'une très grande dureté. Autumn doit s'occuper de sa sœur et de son frère, Avery et Dustin, puisque leur mère est alcoolique et absente. De fait, elle a même dû arrêter ses études dès le lycée afin de travailler (et enchaîner deux boulots en même temps) afin de pouvoir subvenir aux besoins de sa famille.
J'ai été touchée par la sœur de Autumn et d'ailleurs j'aurais bien voulu connaître plus son histoire (pourquoi pas avoir un tome dédié sur elle ?).
J'ai donc bien fait de laisser une seconde chance à Alfreda Enwy. En effet, avant de lire "Ne crois pas que tu m'aimes", j'avais lu l'an dernier "Nos infinis chaos" et malheureusement je n'avais pas vraiment accroché. Comme quoi, si je n'avais pas vu d'aussi bons avis sur ce roman, je ne me serais jamais tournée vers lui et j'aurais raté une belle pépite ! Un roman à découvrir absolument et à savourer, sans modération !
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