Johanna se l’était pourtant juré : plus jamais elle ne se laisserait approcher, et encore moins séduire, par un garçon. Si elle a accepté d’aller parler à Ryan, c’est uniquement pour rendre service à Poppy, sa meilleure amie. Elle était loin de penser que ces yeux bleus posés sur elle la troubleraient autant et lui feraient perdre tous ses moyens. Loin de penser aussi que ces sensations lui avaient manqué… Mais elle doit se reprendre, Ryan est tout sauf un homme pour elle, et il ne mérite certainement pas qu’elle renonce à sa nouvelle règle. Star de l’équipe de basket à l’ego surdimensionné et incorrigible dragueur, pour lui, l’amour n’est qu’une partie de plus. Non, vraiment, Johanna ne reviendra pas sur sa décision : elle n’a plus envie de jouer …
“Love Play” est la suite directe de “Love Deal” où nous suivions l’histoire de Poppy et Eren. Cette fois-ci, place à Johanna (meilleure amie de Poppy) et à Ryan (Gosling pour les intimes). Nous sommes toujours dans le milieu universitaire aux côtés de nos basketteurs préférés.
J’ai adoré Johanna, bien plus que Poppy dans “Love Deal”, notamment grâce à sa répartie envers Ryan qui est juste excellente. En effet, Ryan drague ouvertement Johanna et la surnomme même “Blondie” mais cela ne fonctionne guère puisque Johanna n’a plus envie de s’attacher à un homme et pour cause : son ex l’a trompée avec sa propre sœur.
Voilà donc le spitch de départ de “Love Play” qui reprend dès la fin des évènements de l’opus précédent (“Love Deal”). Vous suivez toujours ?
« Ce mec respire la confiance en lui. La confiance elle-même s'inspire de lui quand elle est en panne d'inspiration. »
Johanna est passionnée par le dessin et elle adore notamment les mangas et tout ce qui se rapporte à la culture japonaise. Comme Poppy dans "Love Deal", Johanna souhaite également devenir éditrice. Cependant, contrairement à Poppy qui est une passionnée de romance, Johanna souhaite se spécialiser dans le manga. J’ai adoré retrouver des références à certains mangas comme “A silent voice” par exemple. Alfreda Enwy a d’ailleurs réussi à me faire rajouter un manga dans ma wishlist (“Maid Sama”) !
Le point fort de cette histoire est l’alternance des points de vue entre Johanna et Ryan. Par ailleurs, j’ai particulièrement aimé l’épilogue (davantage que celui de “Love Deal”) !
« Est-ce qu'on mérite vraiment l'amour de quelqu'un ? C'est n'importe quoi. On aime et parfois on est aimé en retour, voilà tout. »
Cependant, le plus gros point négatif selon moi est le fait que les personnages s'appellent tout le temps "femme" ou "mec". Je ne trouvais pas ça vraiment flatteur et les répétitions de ces termes étaient assez redondantes.
Toujours est-il que j’ai passé un très bon moment de lecture et que je vous recommande de lire “Love Play”. Alfreda Enwy aborde très justement le thème de la confiance en soi à travers le personnage de Johanna.
J’ai adoré Johanna, bien plus que Poppy dans “Love Deal”, notamment grâce à sa répartie envers Ryan qui est juste excellente. En effet, Ryan drague ouvertement Johanna et la surnomme même “Blondie” mais cela ne fonctionne guère puisque Johanna n’a plus envie de s’attacher à un homme et pour cause : son ex l’a trompée avec sa propre sœur.
Voilà donc le spitch de départ de “Love Play” qui reprend dès la fin des évènements de l’opus précédent (“Love Deal”). Vous suivez toujours ?
Johanna est passionnée par le dessin et elle adore notamment les mangas et tout ce qui se rapporte à la culture japonaise. Comme Poppy dans "Love Deal", Johanna souhaite également devenir éditrice. Cependant, contrairement à Poppy qui est une passionnée de romance, Johanna souhaite se spécialiser dans le manga. J’ai adoré retrouver des références à certains mangas comme “A silent voice” par exemple. Alfreda Enwy a d’ailleurs réussi à me faire rajouter un manga dans ma wishlist (“Maid Sama”) !
Le point fort de cette histoire est l’alternance des points de vue entre Johanna et Ryan. Par ailleurs, j’ai particulièrement aimé l’épilogue (davantage que celui de “Love Deal”) !
Cependant, le plus gros point négatif selon moi est le fait que les personnages s'appellent tout le temps "femme" ou "mec". Je ne trouvais pas ça vraiment flatteur et les répétitions de ces termes étaient assez redondantes.
Toujours est-il que j’ai passé un très bon moment de lecture et que je vous recommande de lire “Love Play”. Alfreda Enwy aborde très justement le thème de la confiance en soi à travers le personnage de Johanna.
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