Hériter de quatre demi-frères d’un coup, c’est trop, beaucoup trop pour Céleste, éternelle solitaire, qui n’a jamais trouvé sa place nulle part. Envoyée chez son père biologique qu’elle connaît à peine, dans une immense réserve animalière au sud de l’Australie, elle perd tous ses repères. Surtout quand l’un des frères Farrow l’attire, la désarme et fait naître en elle des sentiments inavouables.
River est fascinant. River est en guerre contre la terre entière. River n’est pas pour elle. Mais River est juste dans la chambre d’à côté…
Et les choses se compliquent vite quand on accepte enfin de ne plus faire chemin seule.
Une romance … dépaysante. Une plongée en plein coeur de l’Australie, dans une réserve animalière. Ces étendues désertes, ces plaines verdoyantes, ces animaux qui pullulent : suricates, wallabies, chimpanzés, koala … Quel plaisir immense pour tous les amoureux de la nature et des animaux !
« Enfouie dans son cou, noyée dans son odeur, j'étais exactement à ma place. »
C’est dans ce cadre que va débarquer Céleste, cette lycéenne de 18 ans, rousse et mal dans sa peau. Elle manque terriblement de confiance en elle et passe son temps à dénigrer son physique. En effet, Céleste est plutôt pulpeuse, sa poitrine est plus grosse que celle des autres filles de son âge. Elle se décrit de façon péjorative comme une bouteille d’Orangina : une taille fine mais des hanches trop larges. Mais si Céleste manque si peu de confiance en elle, c’est peut-être aussi parce qu’elle a subit des brimades dans son ancien lycée … D’ailleurs, le ton est donné rien qu’à la lecture de la dédicace de Emma Green : “En France, dix élèves sur cent subissent le harcèlement scolaire. Ce roman est pour eux”.
Après une année catastrophique dans son ancien lycée à Paris à cause de ces brimades, elle va devoir redoubler sa terminale mais dans un nouveau lycée. C’est ainsi que sa mère va décider de l’envoyer chez son père … en Australie ! Son père est soigneur/vétérinaire dans une réserve animalière. J’ai rarement été aussi dépaysée à la lecture d’une romance ! En termes d’animaux j’ai été comblée, je me suis sentie tellement bien dans ce cadre entourée de toutes ces bestioles tellement craquantes (surtout les suricates).
Son père a refait sa vie avec une nouvelle femme. C’est ainsi que Céleste va devoir cohabiter avec quatre demi-frères : Asher, l’aîné, le Ken de Barbie à la mèche rebelle et son chien Fox ; Jagger le déjanté avec son skate et son chien Monkey ; Kasper, le petit dernier de la bande âgé de 13 ans, handicapé mais tellement vif et intelligent d’esprit (capable de dessiner ses propres prothèses pour sa jambe amputée), une merveille de petit garçon. Son chien à lui s’appelle Bear. Enfin, nous avons le sombre et ténébreux River et son chien Lynx … River, ce mystérieux jeune homme de 19 ans, qui va très rapidement faire tourner la tête de Céleste. Il est étudiant et souhaite devenir ostéopathe.
« Derrière chaque être humain se cache un combat dont vous ne savez rien. »
Au départ, tout commence par une histoire d’amour/haine mais surtout de haine. River fait payer à Céleste sa présence chez eux. Selon lui, elle n’a rien à faire ici et doit repartir. Mais quand l’amour s’en mêle, toutes ses certitudes vont voler en éclats et Céleste avec …
Céleste n’a que 18 ans donc elle est jeune, fait encore des erreurs et à parfois un comportement incompréhensible. J’ai eu vraiment du mal m’attacher à ce personnage. Tout d’abord, dès le début on se rend compte qu’elle n’aime pas vraiment les animaux, traitant les suricates de “laids”, “débiles”, et “dégueulasses”. Heureusement qu’elle évolue par la suite et commence à apprécier les animaux.
Le pire, c’est que je n’ai pas compris pourquoi, après avoir subi les brimades de ses camarades dans son ancien lycée, elle se rapproche du clan des “pestes” dans son nouveau lycée … Elle sait ce que c’est que de subir le harcèlement et à quel point cela peut détruire une personne voire la pousser à commettre l’irréparable mais non, cela ne l’empêche pas de se rapprocher du clan des “pestes” qui critiquent tout le monde, juste pour ne pas être toute seule. Je dois avouer que c’est quelque chose que j’ai du mal à comprendre.
A 18 ans, Céleste n’a même pas le réflexe de savoir qu’il faut utiliser un préservatif pour sa première fois. Je veux bien croire qu’elle vient d’une famille dysfonctionnelle mais bon quand même !
C’est le deuxième roman que je lis de Emma Green et je remarque qu’il y a toujours énormément de clichés. Alors ici ce n’était pas le cliché du milliardaire mais la scène de la première fois est clichée à souhait : la fille vierge de 18 ans qui arrive à avoir un orgasme du premier coup (qu’elle nous donne sa recette magique). En fait, la seule fois où j’ai vu une scène de première fois décrite de façon réaliste c’était dans “My stepbrother : L’initiation” de Sophie S. Pierucci.
Les scènes de sexe sont souvent beaucoup trop longues si bien que vers la fin j’ai lu en diagonale la scène dans la piscine !
J’ai été agacée par les nombreuses répétitions du mot “bun”. A chaque chapitre on nous dit que l’héroïne “s’attache les cheveux en un bun”, que le garçon “s’attache les cheveux en un bun”. Sur un livre de plus de 600 pages vous comprenez bien qu’une expression qui revient tout le temps ça devient vite redondant. Les auteures auraient pu utiliser le synonyme “chignon” histoire de ne pas toujours utiliser le même mot tout le temps.
Enfin, la révélation centrale de l’histoire qui arrive à la fin de la première partie est évidemment prévisible dès le commencement de l’histoire. Surtout, rien que par les descriptions physiques des différents frères, on comprend aisément qu’il y a anguille sous roche.
In fine, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon. C’est cliché, on a une héroïne agaçante et des scènes de sexe interminables mais au moins vous allez voyager avec cette romance et ça, ça change ! Je recommande pour cet été même si, sur le même thème, j’ai préféré “My stepbrother : L’Initiation” de Sophie S. Pierucci car les personnages n’étaient pas des lycéens, ils étaient plus adultes. Je pourrais également vous conseiller “Ce qui ne te tue pas” de Georgia Caldera !
C’est dans ce cadre que va débarquer Céleste, cette lycéenne de 18 ans, rousse et mal dans sa peau. Elle manque terriblement de confiance en elle et passe son temps à dénigrer son physique. En effet, Céleste est plutôt pulpeuse, sa poitrine est plus grosse que celle des autres filles de son âge. Elle se décrit de façon péjorative comme une bouteille d’Orangina : une taille fine mais des hanches trop larges. Mais si Céleste manque si peu de confiance en elle, c’est peut-être aussi parce qu’elle a subit des brimades dans son ancien lycée … D’ailleurs, le ton est donné rien qu’à la lecture de la dédicace de Emma Green : “En France, dix élèves sur cent subissent le harcèlement scolaire. Ce roman est pour eux”.
Après une année catastrophique dans son ancien lycée à Paris à cause de ces brimades, elle va devoir redoubler sa terminale mais dans un nouveau lycée. C’est ainsi que sa mère va décider de l’envoyer chez son père … en Australie ! Son père est soigneur/vétérinaire dans une réserve animalière. J’ai rarement été aussi dépaysée à la lecture d’une romance ! En termes d’animaux j’ai été comblée, je me suis sentie tellement bien dans ce cadre entourée de toutes ces bestioles tellement craquantes (surtout les suricates).
Son père a refait sa vie avec une nouvelle femme. C’est ainsi que Céleste va devoir cohabiter avec quatre demi-frères : Asher, l’aîné, le Ken de Barbie à la mèche rebelle et son chien Fox ; Jagger le déjanté avec son skate et son chien Monkey ; Kasper, le petit dernier de la bande âgé de 13 ans, handicapé mais tellement vif et intelligent d’esprit (capable de dessiner ses propres prothèses pour sa jambe amputée), une merveille de petit garçon. Son chien à lui s’appelle Bear. Enfin, nous avons le sombre et ténébreux River et son chien Lynx … River, ce mystérieux jeune homme de 19 ans, qui va très rapidement faire tourner la tête de Céleste. Il est étudiant et souhaite devenir ostéopathe.
Au départ, tout commence par une histoire d’amour/haine mais surtout de haine. River fait payer à Céleste sa présence chez eux. Selon lui, elle n’a rien à faire ici et doit repartir. Mais quand l’amour s’en mêle, toutes ses certitudes vont voler en éclats et Céleste avec …
Céleste n’a que 18 ans donc elle est jeune, fait encore des erreurs et à parfois un comportement incompréhensible. J’ai eu vraiment du mal m’attacher à ce personnage. Tout d’abord, dès le début on se rend compte qu’elle n’aime pas vraiment les animaux, traitant les suricates de “laids”, “débiles”, et “dégueulasses”. Heureusement qu’elle évolue par la suite et commence à apprécier les animaux.
Le pire, c’est que je n’ai pas compris pourquoi, après avoir subi les brimades de ses camarades dans son ancien lycée, elle se rapproche du clan des “pestes” dans son nouveau lycée … Elle sait ce que c’est que de subir le harcèlement et à quel point cela peut détruire une personne voire la pousser à commettre l’irréparable mais non, cela ne l’empêche pas de se rapprocher du clan des “pestes” qui critiquent tout le monde, juste pour ne pas être toute seule. Je dois avouer que c’est quelque chose que j’ai du mal à comprendre.
A 18 ans, Céleste n’a même pas le réflexe de savoir qu’il faut utiliser un préservatif pour sa première fois. Je veux bien croire qu’elle vient d’une famille dysfonctionnelle mais bon quand même !
C’est le deuxième roman que je lis de Emma Green et je remarque qu’il y a toujours énormément de clichés. Alors ici ce n’était pas le cliché du milliardaire mais la scène de la première fois est clichée à souhait : la fille vierge de 18 ans qui arrive à avoir un orgasme du premier coup (qu’elle nous donne sa recette magique). En fait, la seule fois où j’ai vu une scène de première fois décrite de façon réaliste c’était dans “My stepbrother : L’initiation” de Sophie S. Pierucci.
Les scènes de sexe sont souvent beaucoup trop longues si bien que vers la fin j’ai lu en diagonale la scène dans la piscine !
J’ai été agacée par les nombreuses répétitions du mot “bun”. A chaque chapitre on nous dit que l’héroïne “s’attache les cheveux en un bun”, que le garçon “s’attache les cheveux en un bun”. Sur un livre de plus de 600 pages vous comprenez bien qu’une expression qui revient tout le temps ça devient vite redondant. Les auteures auraient pu utiliser le synonyme “chignon” histoire de ne pas toujours utiliser le même mot tout le temps.
Enfin, la révélation centrale de l’histoire qui arrive à la fin de la première partie est évidemment prévisible dès le commencement de l’histoire. Surtout, rien que par les descriptions physiques des différents frères, on comprend aisément qu’il y a anguille sous roche.
In fine, je dirais qu’il y a du bon et du moins bon. C’est cliché, on a une héroïne agaçante et des scènes de sexe interminables mais au moins vous allez voyager avec cette romance et ça, ça change ! Je recommande pour cet été même si, sur le même thème, j’ai préféré “My stepbrother : L’Initiation” de Sophie S. Pierucci car les personnages n’étaient pas des lycéens, ils étaient plus adultes. Je pourrais également vous conseiller “Ce qui ne te tue pas” de Georgia Caldera !
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