When Pestilence comes for Sara Burn’s town, one thing is certain: everyone she knows and loves is marked for death. Unless, of course, the angelic-looking horseman is stopped, which is exactly what Sara has in mind when she shoots the unholy beast off his steed.
Too bad no one told her Pestilence can’t be killed.
Now the horseman, very much alive and very pissed off, has taken her prisoner, and he’s eager to make her suffer. Only, the longer she’s with him, the more uncertain she is about his true feelings towards her … and hers towards him.
And now, well, Sara might still be able to save the world, but in order to do so, she'll have to sacrifice her heart in the process.
C'est un peu par hasard que j'ai découvert ce livre. Ce sont les suggestions d'Amazon qui m'ont fait tourner la tête quand j'ai vu la couverture du roman. Les avis n'étaient pas négatifs, bien que parfois mitigés, et l'histoire promettait d'être différente de ce que je lisais dernièrement. J'ai donc foncé tête baissée dans le roman, sans en attendre beaucoup de choses.
La terre a subit l'apocalypse il y a quelques années. Ce sont les cavaliers de l'apocalypse, envoyés par Dieu, qui ont saccagés le monde tel que nous le connaissons. Sara a dû radicalement changer de vie. Elle qui faisait ses études dans la littérature anglaise, elle s'est réorienté pour devenir pompier et aider son prochain à survivre à cette attaque surnaturelle. Après avoir fait tant de ravages, les guerriers ont disparu, ce qui a donner aux Hommes un peu de répis. Cependant, la réapparition de Pestilence, et de la peste qu'il propage, n'annonce rien de bon pour la race humaine.
« I came to conquer this land and its people, but instead, one of its people conquered me. »
Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas plongé dans un post-apocalytique, et j'ai retrouvé un univers que j'apprécie, non pas pour la joie qu'il apporte, mais plutôt pour la psychologie et l'analyse du comportement des Hommes qu'il met en avant.
On se retrouve directement plongé dans la vie de Sara alors qu'elle vient d'être désignée volontaire pour tuer Pestilence. Elle sait qu'elle est condamnée à mourir, car même si elle réussi sa tâche, le fait d'avoir été si proche du cavalier l'aura contaminée. Cependant, elle est prête à tout pour défendre sa famille et la race humaine. Malgré cette haine contre lui, on va très vite sentir l'humanité de notre personnage, et son dégoût à causer la mort. Tout ne va malheureusement pas se passer comme prévu, et elle va se retrouver prisonnière de cet être divin et maudit.
« Pride is a lonely soldier, seeing out his watch when there’s no one else there to care. »
Ce que j'ai aimé les dialogues parsemés de pics entre Sara et Pestilence. Ce sont deux ennemis que tout oppose et qui ne se comprennent pas, mais ils ont un point commun: une langue bien pendue et un caractère de mulet. Le roman est centré sur nos deux personnages. Par ces temps d'apocalypse, et surtout à cause du virus diffusé par le cavalier, ils ne croisent pas grand monde sur leur route. Cependant pas de quoi s'ennuyer. L'auteure a toujours un tour dans son sac pour nous divertir. De plus, elle prend le temps de faire mûrir les sentiments entre Sara et Pestilence. La haine va d'abord se transformer en curiosité. Pestilence n'a en effet pas l'habitude d'avoir une apparence humaine, et les sensations de ce corps lui sont étrangers, tout comme les us et coutumes des humains. Sara va elle aussi chercher à un savoir plus, bien que Pestilence reste très secret une bonne partie du roman.
Nous allons quand même voir éclore le besoin de protéger Sara, puis de la chérir, même si il ne comprend pas ces sentiments et pense que c'est simplement parce qu'il veut décider seul de la façon dont elle mourra. La jeune femme a aussi du mal à accepter ses sentiments. Qui pourrait tomber sous le charme de l'homme qui massacre la planète et ne semble pas s'en vouloir ?
« Love is the greatest gift we can give or receive.»
Bien que l'apocalypse ne fasse pas ressortir que les bons côtés des Hommes, certains être la preuve du contraire et vont ouvrir les yeux à Pestilence. On le voit tout doucement changer au contact de Sara, et comprendre le concept de la pitié.
J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteure, et les stades par lesquelles elle fait passer les deux personnages. Bien qu'il ne soit pas rose, et peigne certaines horreurs, elle arrive à nous faire apprécier et à nous donner pitié de Pestilence ! De plus, elle cache quelques rebondissements au fur et à mesure de ses chapitres, tout comme une fin qui donne envie de découvrir la suite.
La terre a subit l'apocalypse il y a quelques années. Ce sont les cavaliers de l'apocalypse, envoyés par Dieu, qui ont saccagés le monde tel que nous le connaissons. Sara a dû radicalement changer de vie. Elle qui faisait ses études dans la littérature anglaise, elle s'est réorienté pour devenir pompier et aider son prochain à survivre à cette attaque surnaturelle. Après avoir fait tant de ravages, les guerriers ont disparu, ce qui a donner aux Hommes un peu de répis. Cependant, la réapparition de Pestilence, et de la peste qu'il propage, n'annonce rien de bon pour la race humaine.
Cela faisait longtemps que je ne m'étais pas plongé dans un post-apocalytique, et j'ai retrouvé un univers que j'apprécie, non pas pour la joie qu'il apporte, mais plutôt pour la psychologie et l'analyse du comportement des Hommes qu'il met en avant.
On se retrouve directement plongé dans la vie de Sara alors qu'elle vient d'être désignée volontaire pour tuer Pestilence. Elle sait qu'elle est condamnée à mourir, car même si elle réussi sa tâche, le fait d'avoir été si proche du cavalier l'aura contaminée. Cependant, elle est prête à tout pour défendre sa famille et la race humaine. Malgré cette haine contre lui, on va très vite sentir l'humanité de notre personnage, et son dégoût à causer la mort. Tout ne va malheureusement pas se passer comme prévu, et elle va se retrouver prisonnière de cet être divin et maudit.
Ce que j'ai aimé les dialogues parsemés de pics entre Sara et Pestilence. Ce sont deux ennemis que tout oppose et qui ne se comprennent pas, mais ils ont un point commun: une langue bien pendue et un caractère de mulet. Le roman est centré sur nos deux personnages. Par ces temps d'apocalypse, et surtout à cause du virus diffusé par le cavalier, ils ne croisent pas grand monde sur leur route. Cependant pas de quoi s'ennuyer. L'auteure a toujours un tour dans son sac pour nous divertir. De plus, elle prend le temps de faire mûrir les sentiments entre Sara et Pestilence. La haine va d'abord se transformer en curiosité. Pestilence n'a en effet pas l'habitude d'avoir une apparence humaine, et les sensations de ce corps lui sont étrangers, tout comme les us et coutumes des humains. Sara va elle aussi chercher à un savoir plus, bien que Pestilence reste très secret une bonne partie du roman.
Nous allons quand même voir éclore le besoin de protéger Sara, puis de la chérir, même si il ne comprend pas ces sentiments et pense que c'est simplement parce qu'il veut décider seul de la façon dont elle mourra. La jeune femme a aussi du mal à accepter ses sentiments. Qui pourrait tomber sous le charme de l'homme qui massacre la planète et ne semble pas s'en vouloir ?
Bien que l'apocalypse ne fasse pas ressortir que les bons côtés des Hommes, certains être la preuve du contraire et vont ouvrir les yeux à Pestilence. On le voit tout doucement changer au contact de Sara, et comprendre le concept de la pitié.
J'ai beaucoup apprécié la plume de l'auteure, et les stades par lesquelles elle fait passer les deux personnages. Bien qu'il ne soit pas rose, et peigne certaines horreurs, elle arrive à nous faire apprécier et à nous donner pitié de Pestilence ! De plus, elle cache quelques rebondissements au fur et à mesure de ses chapitres, tout comme une fin qui donne envie de découvrir la suite.
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